Second book of 2020
Disclaimer: this book is French, that’s why the review will be in French.
Reading period: 20 Jan 2020 – 30 Jan 2020
Summary
Pour toutes celles qui se sentent le talent d’écrire…
” En octobre dernier, quand, par un coup de téléphone, votre Académie a agité ses clochettes, c’est le nom de Magnus qui m’est venu en premier à l’esprit. Les choses naissent bien quelque part, et comment ne pas nous revoir, lui, le jeune garçon penché sur mes poèmes, et moi, au toupet illimité, qui le regardait lire… “
À l’occasion de son discours de réception du prix Nobel de littérature, Annette Comte se souvient de ses dix ans et de celui qui lui a donné l’envie d’écrire. Elle raconte, émerveillée, ce que le flamboyant Magnus fut pour elle – et il fut tout – l’été 1972, dans le sud de la France. Mais ce n’est qu’en osant, à Stockholm, revenir ainsi sur cette première et immense peine de coeur qu’Annette prendra la mesure de ce qu’un écrivain demande à l’amour.
Rating
Review
J’ai lu ce livre en hiver et m’a permis de retourner en vacances dans le sud sans bouger de chez moi. C’est un livre qui fait chaud au cœur car on se promène dans les souvenirs d’Annette lors de ses vacances lorsqu’elle a 10 ans. Grâce à cela on arrive facilement à se mettre à sa place car ce livre nous fait replonger dans nos propres souvenirs de vacances et on peut retrouver des sensations ou des moments semblables aux siens.
Les personnages sont tous attachants que ce soit Magnus et ses cabrioles ou Kléber et sa présence mais le personnage qui m’a le plus plu est quand même Annette et ses poèmes, et sa candeur de petite fille.
Liz.
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